Je trouve ça stupéfiant que même en ayant atire l’inters de plusieurs noms du niveau de Micheal Mann, Stephen Frears, Paul Haggis, Lee Daniels and Spike Lee, il a fallu plusieurs années de reconsidération pour que le film Selma soit produit. C’est un exploit important sous nombreux points de vue que un cinéaste femme, afro-américaine – Ava DuVernay – qui était auparavant publicitaire et qui avait réalisé que deux films indépendents en soit l’auteur. Toutes ces incroyables bases et le travail qu’il a fallut pour créer Selma, ne font que contribuer a ajouter du respect et de la fascination pour le résultat de cette épreuve de réalisation, qui est un morceau de cinema de haute qualité qui include des notions, de l’art, un point de vue et une narration avec une clarté captivante, et une vision artistique qui va au-delà de son origine.
C’est aussi une mission complètement intimidante de penser a une façon pour inclure la vie, les exploits et l’importance de Dr Martin Luther King Jr., le mouvement et les valeurs pour lesquelles il a lutte, dans un film; le scénariste anglais Paul Webb et la cinéaste Ava DuVernay (qui a réécrit le texte pour representer a plein la recherche qu’elle a fait et ca vision) le font en nous racontant l’histoire des mois entre l’acceptation du Prix Nobel de la part de Dr King, en Decembre 1964, et la Montgomery March, 21-25 mars, 1965. Entre ces deux moment sont certains des moments les plus intenses, signifiants et cruciaux du mouvement de la African-American Civil rights movement, et de l’histoire des états unies d’Amérique, merveilleusement capturé par le directeur de photographie Bradford Young. Meme si le Civil Rights act a était passe au congres, terminant la segregation d’un point de vue legal, la grande majorité des citoyens Afro-Americains reste incapable d’exercer ces droits et se registrer pour voter, a cause de l’abus de pouvoir perpétrer par des bureaucrate fanatique, qui finissent par abuser verbalement et physiquement, comme il se passe avec Annie Lee Cooper, magnifiquement represente par Oprah Winfrey. Cette réalité est particulièrement flagrante dans la ville de Selma, Alabama, une ville “normale” du sud, dangereuse pour les homme et femme de couleur, et ou le scrutin des votants compte le 99% de blancs, meme si la population noire dépasse la population blanche.
Tim Roth arrive a capturer le desinteret et les tentatives d’eclipser le probleme perpetrer par le gouverneur George Wallace avec sarcasme et furtivite’. Le scenario décrit auparavant rend Selma l’endroit ideal pour que Dr King y guide ca requête pacifique de justice sociale, cette fois sous la forme d’une manifestation (qui devient plusieurs manifestations, vue que la premiere est violemment reprime et la deuxième doit être arrete par Dr King meme pour éviter de violences similaires) qui part de Selma, et qui arrive a Montgomery, pour demander la protection du droit au vote. L’acteur anglais David Oyelowo represente Dr King de façon superpose, profonde, nuance’ et personnelle, reussisant a inclure la cadence, le charisme, l’intelligence et la lutte intérieure de cette homme remarquable.
Les efforts du Civil rights movement, soutenu par la Southern Christian Leadership Conference donnent lieu au Voting Rights Act de 1965, signe par Lyndon B. Johnson, qui est finement represente par encore un autre acteur competent Anglais, Tom Wilkinson, qui arrive a délivrer un personnage profond, honnête et riche. DuVernay démontre l’intelligence, la force et la clarté de ca compréhension et vision en emballant le film dans la musique minimaliste de Jason Moran, accompagne par quelque chanson classique spirituelle, et la “Glory” la magnifique chanson de John Legend et Common.
L’une des caractéristiques qui est le plus remarkable a propos de Selma est ca devotion continuelle et soutenu a la vérité factuelle. Le film ne se réduit jamais a devenir un manifeste, un biopic ou un cri de guerre, mais arrive a maintenir un equilibre admirable. Surprennant que l’Academy n’ait meme pas nomme les acteurs et la réalisatrice de se film, en donnant que deux signes de tete au meilleur film et a la meilleure chanson, mais bon, il ne doit pas être facile de voir encore un autre grand film sur l’histoire américaine cree grace aux competences et aux sous des anglais (avec l’exception de Ava DuVernay, Oprah Winfrey et Brad Pitt, qui ont produit).
CRITIQUE par Lorenzo Pozzan, New York
TRADUCTION par Lorenzo Pozzan, New York