Cinquante nuances de revenu: une critique de CINQUANTE NUANCES DE GREY (in French)

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Les heures passe par l’écrivain britannique E.L. James sur la page-fan de Twilight ont donner vie au roman qui a vendu plus de cent million de copies dans le monde, et maintenant compte une base de supporteurs encore plus importante, sur laquelle se base un nouveau blockbuster. Ce nouveau phénomène globale s’appel Cinquante Nuances de Grey.

Co-produit par Universal Pictures/Focus features, et mis en scène par Sam Taylor-Johnson (Nowhere Boy), le film, avec plein de références a Nine And A Half Weeks et Le Dernier Tango à Paris, s’intéresse a la singulière relation entre un jeune entrepreneur fortuné, Mr Christian Grey, joué par Jamie Dornan (The Fall) et une universitaire, Anastasia Steele, joué par Dakota Johnson (22 Jump Street). Dans une interview pour le journal de son école, son regard vulnérable et curieux rencontre l’ame “polie, intense, intelligente et intimidante” du jeune magnat. Anastasia découvre vite la capacité de Christian de tout contrôler, et leurs intérêts communs les portent vite a partager une relation faite de cadeaux littéraires, voyages en hélicoptère et belles voitures. Pendant leur premier rendez-vous, elle découvre de manière inattendue que Christian aime le sadomasochisme quand il lui montre sa salle de jeux, remplie de jouets et matériel bondage. Christian l’informe que pour qu’ils continuent a se voire, elle doit signer un contrat de soumission qui interdit une relation romantique, et en permet une exclusivement sexuelle. En le taquinant et en se refusant de respecter certaines parties du contrat, elle accepte de rencontrer Christian pour le discuter. Après la remise de son diplôme, Anastasia accepte de signer le contrat de dominance/soumission, mais avant, elle demande a Christian de la punir pour lui montrer ceux qui pourrait être représentatif de l’extrémité d’une relation de bondage avec lui. Cette démonstration la porte a comprendre qu’ils sont incompatibles, et malgré son intérêt pour Christian, elle le laisse.

Ce film, ardemment attendu sort trois ans après la publication du premier volume de la trilogie qui comprend un deuxième, Cinquante Nuances Plus Sombres (2012) et un troisième, Cinquante Nuances Plus Claires (2012). Techniquement, la sombre cinématographie est assez bien assorti avec la personnalité de Mr. Grey, même si la correction chromatique est parfois amusante, en vue des noms de famille des personnages – Grey et Steele (qui sonnent exactement comme grey et steel, gris et acier, en anglais). Néanmoins, avec un soulagement qui est le bienvenue, la froideur diminue pendant les scènes dans la chambre rouge de bondage, ou avec la famille, en montrant qu’il y a des endroits et des moments ou Mr. Grey devient plus humain: que ça soit un bien ou  un mal est hors sujet.

La bande originale est le cote le plus réussi de toute la production, des chansons par Beyoncé, Ellie Goulding et Sia, originales ou remixer, portent le film a un niveau élevé. Malhereusement, au moins en ceux qui concerne la creation d’un bon film, cette stratégie d’adaptation — de prendre une propriété a succès, avec une énorme quantité de supporteurs inconditionnels — laisse a desirer. La relation sexuelle a une dimension que les personnages partagent manque de pathos, en révélant des points faibles.

Le personnage de Christian Gray est trop glamour: il a besoin de se laisser aller pour être un peu moins parfait. Meme si Mr. Gray incarne la perfection, ca pourrait l’aider a d’être un peu plus pris par les scenes de sexe, au lieu de faire semblant. Les scenes de bondage nécessitent d’une renovation totale – elles ne son pas convaincantes. Elles évoquent des ménagères qui s’ennuie, qui revient d’un homme qui s’occupera d’elles, mais qui sentent de ne pas le mériter, et en echange de ces faveurs, croyant de devoir le payer un petit prix pour équilibrer l’affaire.

Le cote négatif le plus evident est le manque d’alchimie entre les deux protagonistes. Ils ne semblent pas s’identifier dans la liaison que les personnages partagent – un vrai dommage. Jamie Dornan, charmant et mystérieux, avec le bon look pour jouer Grey, semble avoir pris le bondage grace au coaching, sans ca propre volonté et lutte intérieure, qui emergent dans le livre, mais a leur place, dans se film, il fait trop star en carton. Dakota Johnson est seduisante, mas pas complètement prise par la situation qu’elle vit. Des fois, ca façon de jouer m’embete, comme si elle devait démontrer qu’elle sait jouer, plutôt que être le personnage. Tout ca donne lieu a des moments prolonge qui sont banales et redondant comme le dialogue.

In n’y a rien a comparer avec “Nymphomaniac” de Lars Von Trier, considere un chef d’oeuvre, mais viser a un publique plus raffine. Je préférerais que “Cinquante nuances de Grey” obtienne un kilometre par rapport aux dix parcouru par “Nymphomaniac”. Vue que le but principal du film est celui d’obtenir un énorme succès commercial, cela a était amplement accompli. Les fans de la trilogie s’attendrait que l’atmosphere mystérieuse et raffine’ qui encercle Mr. Grey, en contraste avec la courageuse et ingénieuse Anastasia, qui ont porte les lecteurs a tomber amoureux de ces personnages dans le livre, se traduirait dans le film.

Allez au cinema, attendez, “Mr Grey va vous voir, maintenant.”

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Fifty Shades Of Grey

CRITIQUE par Lorenzo Lars Vallot, New York

TRADUCTION par Lorenzo Pozzan, New York