Le vieux corbeau: critique de “Nevermore – La vie imaginaire et mort mystérieuse de Edgar Allan Poe”

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Critique, poète, maitre d’horreur, inventeur du roman policier de nos jour – et alcoolique ardent – Edgar Allan Poe est mort soûl et délirant, en circonstances mystérieuses dans un hôpital de Baltimore en 1849, en laissant une hérédité littéraire qui continue a nous exciter et nous fait peur. Nevermore – The imaginary life and myserious death of Edgar Allan Poe – récemment importé du Canada et maintenant produit chez New World Stages – nous porte de ces premiers jours, le fils d’un père bien arrosé et une mère actrice, bipolaire, aux derniers, et la dernière cuite fatale dans un bar de Baltimore.

Scott Shpeley – les yeux vif et l’attitude sombre et mélancolique – joue Poe comme un type hanté incapable de fuir les fantômes de son passé. (Parme ces fantômes: les spectres de ceux qu’il connaissait et aimait qui était morts beaucoup trop jeunes, a cause de l’alcool). Le reste d’une distribution de sept, qui jouent son frère, ces soeurs, et ces parents (biologique et adoptées), les filles qu’il a aime, et le rédacteur pour lequel il a travaille – et de nombreux autres – sont équitablement efficaces, en particulier Garett Ross dans le role de son pere adoptif, Jock Allan, radin et sans coeur, et Shannon Blanchet dans le role de Elmira, la fille avec un penchant pour les cimetières, un talent pour les histoires de spectres, et la fille chez qui il avait l’intention de retourner, une fois mort. (Le reste de la distribution, polyvalente et travailleuse: Gaelan Beatty, Beth Graham, Ryan Parker, and Lindsie VanWinkle.)

La musique et les paroles écrites par Jonathan Christenson, qui a aussi mis en scène, on une qualité hypnotique, et l’interprétation du plus fameux poem de Poe, “The Raven”, dans le deuxième acte par Shtepley est un clou du spectacle. Presque tout est chante ou recite en rime – souvent directement aux spectateurs; Christenson permet rarement a ces acteurs de s’adresser entre eux – et ces paroles démontrent un don, une théâtralité (et redonnent la cadence de Poe très efficacement). Le maquillage grotesque, les costumes étranges, et la choreograpie hyper stylise, ne font que ajouter a l’effet convenablement morbide et meme hilaire, en certains moments. (L’éclairage créatif – certaines scènes sont mise en scène presue dans l’obscurité – aide, aussi.)

Il est vrai que les corps s’empilent un peu trop haut – était il nécessaire d’etre témoin d’une SI NOMBREUSE quantité de derniers souffles de personnes dans ca vie? – mais peu importe. “Nevermore – La vie imaginaire et mort mystérieuse de edgar allan poe” est une pièce hyper-théâtrale, énormément amusante et souvent touchante.

Voyez la.

CRITIQUE THEATRAL par Stuart R. Brynien, New York

TRADUCTION par Lorenzo Pozzan, New York